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Référence de Stephen A. White White,, Stephen A.. Dictionnaire généalogique des familles acadiennes (Première partie 1636 à 1714, en 2 volumes), Centre d'études acadiennes, - Université de Moncton, Moncton, NB, 1999. page 928 ii Nous trouvons aussi Daniel Lejeune chez Benjamin Landry et Alexis Lejeune chez « son oncle » Joseph Landry (f Jean-Baptiste) dans le recensement de La Roque. Nous sommes porté à croire que les Lejeune étaient deux frères et que Benjamin Landry était en effet leur oncle, alors que Joseph Landry n'était que leur cousin germain. Si ces conclusions sont bonnes, la mère de ces deux Lejeune devait être la fille de Jean Landry. iii Nous croyons que l'épouse de Charles Daigre était également fille de Jean Landry parce que lors du recensement de La Roque nous trouvons sa famille à la Rivière-du-Nord, île St-Jean, tout près de Benjamin Landry, de la veuve Cécile Melanson et d'Élisabeth Vincent (qui avait épousé, en deuxièmes noces, Amand Daigre, oncle de Charles). Notons aussi que parmi les parrains et marraines des enfants de Cécile Landry figuraient Marguerite Babin, épouse de Benjamin Landry, et ses enfants Marie et Mathurin. iv Nous comptons Cécile Landry et ses enfants parmi les familles acadiennes de l'île St-Jean disparues sans aucune trace après 1758. Après une étude approfondie du sujet, nous croyons qu'ils figuraient parmi les malheureux passagers à bord d'un des deux transports anglais qui ont sombré en mer (voir SHA vol II, p 286-299). Note historique 25 août 1714: Jean Landry, des Mines, reçoit permission « de s'établir dans l'île Royalle sous le bon plaisir du Roy » dans une lettre de L'Hermite à Louisbourg (ANF, Col, C11B, vol I, fil 104-105).
Dernière modification : samedi 05 avril 2014
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