

| |
Études diverses
(Autres que Landry)
Notes sur des Américains capturés et
intégrés à la société de la Nouvelle-France
Les Raizenne. Origine américaine
de la famille Raizenne.
Les Alsaciens ou Acadiens allemands.
Étude sur l'Origine de
Soeur St-Vincent-de-Paul (Élisabeth Robichaud) déportée de Louisbourg
en 1758
Les Jean Langlois de la
Nouvelle-France
Le Régiment de Carignan-Salière
Pierre [Delguel dit Labrèche] époux de
Marie Anne [Baron dit Lupien]
Fiche #14303 |
Résultat de ma recherche sur Pierre [Delguel dit Labrèche]
époux de Marie Anne [Baron dit Lupien].
Dans l'original du registre de
mariage, je lis
"...... pierre la brêche fils de pierre la brêche et de jeanne? da
Mien ... marie anne lupien fille de nicolas lupien et marie chauvin ....".
Dans la copie manuscrite du
registre (Probablement après 1800), on peut lire :
"... Pierre la Brêche fils de Pierre la Brêche et de Jeanne Damien ... Marie
Anne Lupien fille de Nicholas Lupien et Marie Chauvin ....".
Dans le Dictionnaire généalogique des familles canadiennes, Vol 1 de Cyprien
Tanguay, publié pour la première fois en 1871, page 175, il indique;
Les parents de Pierre sont Pierre Delguel, frère du précédent, et Jeanne
Damien. Le précédent étant Jean Delguel fils de Raymond et Françoise Marty,
alors il serait le petit-fils de Raymond Delguel et Françoise Marty. En
aucun cas il
indique d'où vient cette information.
Jetté page 322, indique qu'il est le neveu Jean, ce qui veut dire la même
chose, en indiquant que sa source est Tanguay. Ce qui en fait le petit-fils
de Raymond Delguel et Françoise Marty.
Il y a aucun autre lien sérieux entre Pierre [Delguel dit Labrèche] époux de
Marie Anne [Baron dit Lupien] et Raymond Delguel et Françoise Marty.
Finalement tout repose sur l'énoncé non documenté de Tangay en 1871. On
a, de
cette
information, transféré à la famille de Pierre [Delguel dit Labrèche] époux
de Marie Anne [Baron dit Lupien] toutes les dates et lieux concordant avec la famile de Jean Delguel fils de Raymond et Françoise Marty. Les références à
des parents
pour la mère Jeanne [Damien dit Dunien] sont toutes purement spéculatives.
Dans la documentation disponible, il y aucune référence à
Pierre [Delguel dit Labrèche] et Jeanne [Damien dit Dunien], sauf au mariage
de leur fils Pierre.
On indique parfois que Pierre [Delguel dit Labrèche]
époux de
Jeanne [Damien dit Dunien] serait venu en Nouvelle-France avec son frère
Jean dans le Régiment de Carignan-Salières. Il y a aucune référence à ce
Pierre dans les documents concernant le Régiment de Carignan-Salières. Jean
[Delguel dit Labrèche] a comme nom de famille Delguel (ou des variations
comme Delgueil, etc.) et a obtenu le surnom Labrèche en tant que soldat du
régiment. On n'aurait pas donné le même surnom à son frère s'il avait été du
régiment, alors il est très peu probable qu'il soit du régiment. Je crois que
Pierre [Delguel dit Labrèche] et son épouse Jeanne [Damien dit Dunien]
n'ont jamais existé en Nouvelle-France.
Alors pourquoi Pierre [Delguel dit Labrèche] époux de Marie Anne [Baron dit
Lupien] a-t-il pris le surnom de Labrèche? Si l'information sur les noms des
parents de l'époux était erronée lors du mariage, il pourrait alors être non
pas le
neveu mais le fils de Jean [Delguel dit Labrèche] et Louise Vaucher. Ce
couple a eu un fils nommé Pierre né le 10 aout 1687, pour lequel on
n’obtient aucune autre information par la suite. Au décès de Pierre [Delguel
dit Labrèche]
époux de Marie Anne [Baron dit Lupien] en octobre 1766 on indique qu'il a 80
ans, soit qu'il est né en 1686, ce qui s'accorde très bien avec le fils de
Jean. Je n'ai pas rencontré d'autres documents qui faisaient référence à son
âge. C'est
une hypothèse intéressante mais qui reste à prouver.
Le chercheur, Denis Labrèche, a trouvé les traces de Pierre, fils de Jean [Delguel
dit Labrèche] et Louis Vaucher :
"Ce dernier fut éduqué par Élisabeth au début, et Jeanne en prit ensuite la
charge avec son mari Pierre Billeron. Il fut placé plus tard comme apprenti
cordonnier à l'âge de 18 ans. Et, on le retrouve ensuite à Louiseville comme
détenteur d'une terre, puis à Maskinongé." Élisabeth et Jeanne étant les
soeurs de Pierre.
Il est, tant qu'à moi, évident que ces deux Pierre sont la même personne.
En conclusion, le célébrant a fait erreur dans l'inscription des parents de
Pierre lors de son mariage ou possiblement mal compris l'information donnée
verbalement par Pierre. Et comme le dit si bien Denis Labrèche, il s'agit
d'une cérémonie en urgence car le mariage a lieu le 5 février 1709 et leur
fille Marie Charlotte est née, deux semaines plus tard, le 19 février 1709.
Denis Labrèche publiera un livre sur la famille Delguel dit Labrèche en
2015. |
mwl 4 septembre 2014. mise à jour
14 avril 2015 |
Les Zouaves du Québec et
Zouaves canadiens.
Zouaves pontificaux. Créé le 1er janvier 1861 sur le
modèle des troupes de zouaves de l'armée française, dont l'uniforme exotique est
très populaire au milieu du XIXe siècle, le bataillon des zouaves pontificaux,
devenu régiment au 1er janvier 1867 est constitué de volontaires,
majoritairement français, belges et hollandais, venus défendre l'État pontifical
dont l'existence est menacée par la réalisation de l'Unité italienne au profit
du Piémont. Leur histoire s'identifie avec la dernière décennie de l'État du
Saint-Siège (1860-1870). Le régiment est licencié le 21 septembre 1870 à la
suite de la disparition des États pontificaux. (Wikipédia)
Selon la documentation il n'y a pas de Landry
dans la liste de tous les zouaves qui ont été combattre pour le papa en Italie.
Référence : Nos croisés ou Histoire
anecdotique de l'expédition des volontaires canadiens à Rome pour la défense de
l'église. Fabre & Gravel, librairies-éditeurs, Montréal 1871.
Les
esclaves Panis en Nouvelle-France
Les Pawnees forment une tribu Amérindienne de
l'ouest Américain du Kansas et du Nébraska. À l'époque de la Nouvelle-France on
écrivais Panis. Les Français ne pouvait pas garder en esclavage des Amérindiens
alliés ou habitants la Nouvelle-France. Ils pouvaient cependant acheter des
esclaves Amérindiens qui venaient de l'extérieur de la Nouvelle-France, comme
ceux de la tribu des Pawnees. Le terme panis ou panise pour les femmes est alors
utilisé pour désigner un esclave Amérindien, bien qu'il ne soit pas
nécessairement de la tribu des Pawnees.
Selon une étude résente il s'agissait
principalement d'Amérindiens originaire du bassin du Missouri soit les Pawnees,
les Padoucas (Apaches) et les Missouris qui constituaient 70% des esclaves. Il y
avait également les renards, des Sioux, des Illinois, des Chicachas et même des
Inuits.
Source: Gilles Havard et Cécile Vidal, Histoire de l'Amérique française, Paris,
Flammarion, Édition révisée: 2008.
Extrait de l’ouvrage Toutes Petites Choses
du Régime Français, de Pierre Georges Roy, éditions Québec, 1944:
«Un certain nombre de familles de Québec, de Montréal et même de la campagne
firent l’acquisition de Panis et surtout de Panises. Les uns et les autres
étaient plutôt employés au service domestique qu’à la culture de la terre, pour
laquelle ils n’avaient aucune aptitude.
Une ordonnance de l’intendant Raudot du 13 avril 1709 portait que tous les Panis
et nègres qui avaient été achetés et qui le seraient dans la suite,
appartiendraient en pleine propriété à ceux qui les avaient achetés comme étant
leurs esclaves. Une amende de 50 livres était imposée à ceux qui, désormais,
tenteraient de débaucher les Panis du service de leurs maîtres.
Les anciens greffes de notaires contiennent bon nombre d’actes de vente
d’esclaves Panis. Les prix, évidemment, variaient considérablement. Tout
dépendait de l’âge, de la santé, des aptitudes, de l’intelligence, etc. du Panis
vendu.»
Augustines - absence de
Landry
Les Augustines: Il n'y a pas de Landry dans
toute l'histoire des Augustines de Québec.
Les Amérindiens au Québec
Il y a assez peu de gênes Amérindiens dans la majorité des Québécois (1%) mais
plus de la moitié des Québécois ont au moins un ancêtre Amérindien, selon une
étude parrainée par Association des démographes du Québec, 2012.
L’apport des données génétiques à la mesure généalogique des origines
amérindiennes des Canadiens français.
Résumé
Dans le cadre d’un programme de recherche sur la diversité génétique des
populations régionales du Québec, nous avons mesuré la contribution des ancêtres
amérindiens au pool génique de 794 participants résidant dans les régions de
Montréal, du Saguenay—Lac-Saint-Jean (SLSJ), de la Gaspésie et de la Côte-Nord.
Les ancêtres amérindiens ont été identifiés à partir de reconstructions
généalogiques (fichier BALSAC) et de données génétiques (ADN mitochondrial) à
l’aide d’une approche qui repose sur l’exploitation conjointe de ces deux types
de données. Les résultats indiquent que plus de la moitié des participants ont
au moins un ancêtre amérindien dans leur généalogie. Ceci veut dire que la
majorité des participants sont porteurs de gènes reçus de fondateurs
amérindiens. Cependant la contribution génétique totale de ces ancêtres aux
quatre groupes régionaux demeure faible. En effet, elle est de moins de 1 % au
SLSJ et à Montréal alors qu’elle dépasse à peine 1 % sur la Côte-Nord et en
Gaspésie.
Auteurs : Hélène Vézina, Michèle Jomphe, Ève-Marie Lavoie, Claudia Moreau et
Damian Labuda
Titre : L’apport des données génétiques à la mesure généalogique des origines
amérindiennes des Canadiens français
Revue : Cahiers québécois de démographie, Volume 41, numéro 1, printemps 2012,
p. 87-105
URI :
http://id.erudit.org/iderudit/1012981ar DOI : 10.7202/1012981ar
Un original, fervent admirateur des Trois Mousquetaires d'Alexandre
Dumas.
Le 17 mars 1857 à Notre-Dame de Québec, baptême de Athos Porthos Dartagnan
Aramis Anselme Hardy fils de Anselme Hardy et Louise Dussault

Lucie
Dubé mariée à Joseph Paquet au Massachusetts.
Sa
généalogie. Analyse du mariage de Lucie Dubé et Joseph Paquet
Dans le répertoire "Ste. Anne de Fall River (1869-1930), Mass." publié par
Robert J. Quintin, Pawtucket, Rhode Island, 1979 on retrouve
à la page 248
PAQUETTE
JOSEPH ETIENNE & PHILOMENE CHAREST 21 fev 1914 PELLETIER, MARIE
8 FEV 1875, st ulric, rimouski
vf Lucie Dube who died 3 fev 1912, Lawrence, Mass
à la page 257
PELLETIER
MARIE THOMAS & ANGELE MARQUIS 21 fev 1914 PAQUETTE, JOSEPH
8 mai 1880, st ulric
Dans le répertoire "Les mariages de Notre-Dame de Lourdes 1874-1962, Fall
River, Mass." de Thérèse Poliquin publié par American French Genealogical
Society, Pawtucket, RI on retrouve
à la page 145:
DUBE
Lucy M & P Belanger 20 Jan 1902 Paquette, J.
à la page 275;
PAQUETTE
J 20 JAN 1902 Dube, Lucy
Au début du répertoire on indique, "The registers of Notre Dame de Lourdes
are incomplete and in a genealogical sense, quite disppointing. The names of
the parents in a large number of the marriages registered in this parish
were omitted. " Alors c'est la seule information inscrite au registre.
Dans le recensement du Canada de 1881 on retrouve
Census Place: Ste-Mathieu, Rimouski, Quebec, Canada
Source: FHL Film 1375824 NAC C-13188 Dist 40 SubDist A Page 11 Family 41
Sex Marr Age Origin Birthplace
Maxime DUBE M M 37 French Quebec
Occ: Farmer Religion: Roman Catholic
Philomine DUBE F M 38 French Quebec
Religion: Roman Catholic
Desire DUBE M 11 French Quebec
Religion: Roman Catholic
Amanda DUBE F 10 French Quebec
Religion: Roman Catholic
Athania DUBE F 8 French Quebec
Religion: Roman Catholic
Alphonse DUBE M 7 French Quebec
Religion: Roman Catholic
Antoine DUBE M 5 French Quebec
Religion: Roman Catholic
Luce DUBE F 3 French Quebec
Religion: Roman Catholic
Mary DUBE F <1 French Quebec
Religion: Roman Catholic
Born: Jun; 3/12
Olive DUBE F W 63 French Quebec
Religion: Roman Catholic
Arnest DUBE M 22 French Quebec
Occ: Labourer Religion: Roman Catholic
Dans le Répertoire des mariages du district de Rimouski (1701-1992) on
trouve;
Maxime Dubé, fils de Maximien Dubé et Nathalie Paradis, Il a épousé le 22
septembre 1868 à St-Simon, Rimouski, Philomène Bélanger, fille de Thadée
Bélanger et Justine Duperré.
J'en conclus que
Lucie Dubé, probablement née en 1878, est décédée (ou sépulture) le 3
février 1912 à Lawrence, Massachusetts, fille de Maxime Dubé et Philomène
Bélanger (mariés 22 septembre 1868 à St-Simon, Rimouski), a épousé le 20
janvier 1902 à Fall River, Notre-Dame-de-Lourdes, Massachusetts, Joseph
Paquet né (ou baptisé) le 8 février 1875 à St-Ulric, Matane, fils de Norbert
Paquet et Emma Ouellet.
Marcel W. Landry
6 novembre 2003 |
John Grant : Écosse - Québec -
Noveau-Brunswick
Marcel Walter Landry - Pour toute question ou problème
concernant ce site Web, envoyez moi un courriel.
Dernière modification
: mardi 15 janvier 2019
|